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Une jardinière ou pot à bonsaï en bronze ancien
jardinière - un grand pot pour faire pousser les bonsaïs
un bien bel objet à découvrir, en bronze massif à patine dorée, ancien, correspondant à l'époque Meiji au Japon et qui représente beaucoup plus qu'un objet de collection ...
Le Bronze : objet décoratif et objet utilitaire.
Cette " jardinière ", comme tous les objets en bronze, est fort bien réalisée, lourde et massive de par sa composition; elle constitue un objet de collection, de décoration certes, mais on peut la voir d'une toute autre manière, pour en faire plus et lui redonner une seconde vie : l'utiliser comme pot à Bonsaï, ce qui entre la couleur or du bronze et la verdure qui va y pousser donnera un fort beau contraste, un superbe effet dès qu'il sera posé dans votre intérieur ....
L'Art du Bonsaï.
Le Bonsaï en Asie du Sud-Est est un Art quasi millénaire. C'est une culture miniaturisée réalisée dans des pots pour essayer d'y représenter un mini-paysage (penjing) à partir de végétation.
Art traditionnel chinois, Art Majeur japonais, il a pour but de réussir à miniaturiser une plante ou un arbre en suivant différentes techniques assez complexes et qui demandent savoir-faire, connaissances et surtout minutie et patience.
Le but final est une réussite esthétique en harmonie avec la nature à l'échelle normale.
On retrouve cette pratique dans de très nombreux pays, la Corée, le Vietnam, notamment comme tous les pays ayant été sous influence chinoise ou nippone.
Cet Art est désormais universel et répandu dans quasiment tous les pays du Monde, suivant principalement la " codification " du Japon et les passionnés ainsi même que des associations ou des clubs se créent de partout.
Mame ou Shôhin.
Bonsaï à une main (jusqu'à 13 cm pour les Mame, et jusqu'à 23 cm pour les Shôhin), souvent très fascinant pour l’amateur ; on parle souvent de mini-bonsaï. Cette taille restreint de manière importante le nombre des variétés qui sont susceptibles d’être travaillées en mame : de trop grandes feuilles qui seraient difficilement réductibles donneraient à l’arbre une disproportion inesthétique.
La culture est plus délicate que pour un arbre plus grand : le pot à bonsaï étant de petite taille, la terre va s’assécher très rapidement et demander des soins constants, en été par exemple, où plusieurs arrosages quotidiens sont nécessaires.
Kotate-mochi ou Komono.
Bonsaï à deux mains, de 15 à 60 cm, jusqu’à 30 cm, puis Chūmono jusqu’à 60 cm, est sans doute le plus répandu parmi les amateurs ; sa taille permet de travailler sa structure et sa ramification avec beaucoup plus de finesse, et ainsi donne plus de liberté créatrice au bonsaïka (pratiquant de l'art du bonsaï). À peu près toutes les variétés conviennent à cette catégorie.
Ômono
Bonsaï à quatre mains (il faut en effet deux personnes pour porter ces grands bonsaïs), de 60 cm à 1,20 m voire plus, était autrefois au Japon un signe de la prospérité du propriétaire ; aujourd’hui, il reste un bonsaï imposant, et souvent vénérable par son âge.
Art traditionnel chinois, Art Majeur japonais, il a pour but de réussir à miniaturiser une plante ou un arbre en suivant différentes techniques assez complexes et qui demandent savoir-faire, connaissances et surtout minutie et patience.
Le but final est une réussite esthétique en harmonie avec la nature à l'échelle normale.
On retrouve cette pratique dans de très nombreux pays, la Corée, le Vietnam, notamment comme tous les pays ayant été sous influence chinoise ou nippone.
Cet Art est désormais universel et répandu dans quasiment tous les pays du Monde, suivant principalement la " codification " du Japon et les passionnés ainsi même que des associations ou des clubs se créent de partout.
La classification des Bonsaïs.
Classés habituellement en trois principales catégories en fonction de leur taille, cela va nous aider à ' deviner ' quel genre de petite merveille pourrait voir le jour dans notre récipient en bronze.Mame ou Shôhin.
Bonsaï à une main (jusqu'à 13 cm pour les Mame, et jusqu'à 23 cm pour les Shôhin), souvent très fascinant pour l’amateur ; on parle souvent de mini-bonsaï. Cette taille restreint de manière importante le nombre des variétés qui sont susceptibles d’être travaillées en mame : de trop grandes feuilles qui seraient difficilement réductibles donneraient à l’arbre une disproportion inesthétique.
La culture est plus délicate que pour un arbre plus grand : le pot à bonsaï étant de petite taille, la terre va s’assécher très rapidement et demander des soins constants, en été par exemple, où plusieurs arrosages quotidiens sont nécessaires.
Kotate-mochi ou Komono.
Bonsaï à deux mains, de 15 à 60 cm, jusqu’à 30 cm, puis Chūmono jusqu’à 60 cm, est sans doute le plus répandu parmi les amateurs ; sa taille permet de travailler sa structure et sa ramification avec beaucoup plus de finesse, et ainsi donne plus de liberté créatrice au bonsaïka (pratiquant de l'art du bonsaï). À peu près toutes les variétés conviennent à cette catégorie.
Ômono
Bonsaï à quatre mains (il faut en effet deux personnes pour porter ces grands bonsaïs), de 60 cm à 1,20 m voire plus, était autrefois au Japon un signe de la prospérité du propriétaire ; aujourd’hui, il reste un bonsaï imposant, et souvent vénérable par son âge.
L'objet du jour !
Superbe jardinière faisant très certainement office de pot à Bonzaï ou Suiban, d'origine japonaise, réalisé en bronze massif à patine dorée, marqué d'un bel idéogramme sous la base.( fabricant, atelier, ville ? )
Une réalisation que l'on peut situer vers la fin de l'ère Meiji (1868-1912).
Dans les productions fin XIXe et XXe les pieds sont très souvent moulés séparément du corps de la pièce (parties soudées, laissant des traces).
On retrouve le décor asiatique avec les fleurs et les pieds en forme de chien de fô ou animal fantastique.
Un décor simple, fleuri et aux lignes épaisses et souvent directes.
On imagine fort bien cette magnifique pièce agrémentée d'un joli bonsaï que l'on a élevé et soigné pendant de longues années ... :)
caractéristiques:
dimensions : 26 x 26 x 23 cm
poids ; 5300 grammes
état : en très bon état avec les habituelles traces d'usage.
période : fin XIXème
ère Meiji
circa : 1880
Une réalisation que l'on peut situer vers la fin de l'ère Meiji (1868-1912).
Dans les productions fin XIXe et XXe les pieds sont très souvent moulés séparément du corps de la pièce (parties soudées, laissant des traces).
On retrouve le décor asiatique avec les fleurs et les pieds en forme de chien de fô ou animal fantastique.
Un décor simple, fleuri et aux lignes épaisses et souvent directes.
On imagine fort bien cette magnifique pièce agrémentée d'un joli bonsaï que l'on a élevé et soigné pendant de longues années ... :)
caractéristiques:
dimensions : 26 x 26 x 23 cm
poids ; 5300 grammes
état : en très bon état avec les habituelles traces d'usage.
période : fin XIXème
ère Meiji
circa : 1880
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